Bonjour !!! :D
Enfin, il serait plus correct de noter "Bonsoir !!! :D" étant donné qu'il est 17 heures moins huit minutes, que nous sommes donc en fin d'après-midi et non plus en début de matinée ! :)
Cessons ces considérations pseudo-philosophiques et souhaitons la bienvenue sur mon blog à vous, inconnu ou inconnue, où j'ai décidé de publier quelques unes de mes créations textuelles. :) Je ne peux garantir qu'elles seront toutes des nouveautés, ni affirmer que je posterais de manière régulière, car malheureusement, je suis un homme frappé par un terrible symptôme : la fainéantise. Certes, j'adore écrire même si cela me pose des difficultés car mon écriture ne correspond jamais à l'idée que je me fais de mon écriture, certes, et je le dis humblement, je ne manque pas d'inspiration, mais alors ! Pour que je rédige ne serait-ce qu'une phrase, il faut vraiment que je sois décidé et que rien autour de moi ne m'appelle ! :D
Bref, j'arrête de parler de moi et vais parler de vous qui êtes présent ici : tout d'abord, je tiens à vous remercier ! Effectivement, si vous êtes présent devant cet article ou un autre, vous permettez à mes personnages de vivre !!! :D Et ce fait est un élément fondamental : je souhaite de tout c½ur que mes personnages vivent en moi, mais également en dehors de moi et donc grâce à vous ! Ensuite, je vous invite cordialement à ne surtout pas hésiter à me laisser des commentaires et des critiques CONS-TRUC-TI-VES !!! Je vous l'annonce en vous regardant droit dans les yeux : ça me passe loin en-dessous des pieds que vous aimiez ou n'aimiez pas ce que j'écris ! Ce qui m'importe c'est de savoir si : 1. est-ce compréhensible ? ; 2. est-ce lisible ? ; 3. le style est-il correct ? ; 4. est-ce intéressant et logiquement est-ce que ça tient en halène ? ; 5. y a-t-il des fautes d'orthographes ?. Je remercie d'avance tout ceux et toutes celles qui posteront un commentaire instructif et donc constructif ! :)
Maintenant, je vous souhaite une agréable lecture ! :D
Amateur d'Écriture
Bonjour ! :D
Rapide présentation : étudiant de lettres, j'écris depuis plusieurs années maintenant et j'ai décidé de partager mes productions écrites ailleurs que sur Facebook. :)
J'écris presque exclusivement des nouvelles, même si parfois je rédige quelques vers sur un coin de feuille. Je me suis également déjà essayé au théâtre. ;)
Mon univers est sombre (bien que je sois un être optimiste), je suis passionné par la violence que contient l'homme et également par la destruction. Parfois, je compare mon écriture à un feu d'artifice : détruire pour créer la beauté. Mon sujet de prédilection ? La violence de l'Amour. ^^
Bonne visite ! :)
Re-Bonjour/ Bonsoir !!! :D
Je débute ce blog en proposant un premier texte faussement nommé "Le coup de foudre". Pourquoi "faussement" ? Tout simplement parce qu'il est un extrait d'une nouvelle intitulée "Femme Fatale" . :) Cette nouvelle, je l'ai rédigé, il y a moins d'un an, cependant, ce texte, ou du moins celui que je vous présent est une réécriture de la première version ! :D J'ai envie de hurler "Alléluia !" tellement cela sort de mes habitudes et prouve que je quitte un peu mon habit de paresseux ! ^^' Donc, d'un certain point de vue, le texte qui va suivre est âgé et d'un autre, est inédit ! ;) Si vous le souhaitez, je pourrais publier la version originale de cet écrit, malgré ma préférence pour la nouvelle version qui est plus limpide et fluide à mes yeux. :)
Bonne lecture à vous et n'hésitez pas à commenter ! :D
Le « coup de foudre ». Expression usité au quotidien par tout type de personnes. Idiotisme qui crée un parallèle entre un évènement naturel provoqué par l'orage et la manifestation humaine d'émotions. Trois mots constituant une explication à un phénomène physique et mental suscité par le sentiment d'Amour. Mais surtout, sujet philosophique qui concerne un certain nombre de personnes, si ce n'est toute la population d'hommes et dont aucun individu n'a de solution finale. Alors, existe-t-il ? Ou bien, n'existe-t-il pas ? S'il existe, comment se manifeste-t-il ? Au travers de quelles sensations ? Au moyen de quelles émotions ? Nous pourrions en discuter des heures. Voire des jours. Et peut-être même des semaines entières. Une vie complète si nous le souhaitons ! Cependant, cette conversation serait stérile. Pourquoi ? Car toi et moi y croyons. L'unique problème présent ici est que tu as, à mes yeux, démystifié cet émoi.
Auparavant, le coup de foudre représentait pour moi la quintessence de l'Amour : deux êtres, deux individus qui, d'un seul regard, prennent conscience qu'ensemble, ils forment un tout que personne ne peut désunir. Une liaison fusionnelle indestructible. De véritables âmes s½urs ! Quoi de plus beau ? Et toi, toi ! Tu me l'as même prouvé ! Tu m'as croisé, un jour, à l'angle d'une rue. Tu m'as fixé, cherchant sans aucun doute à découvrir mon visage, et j'ai senti ton regard appuyé sur moi. J'ai relevé les yeux, brusquement, et alors, nous nous sommes rencontrés. L'Amour est né dans nos pupilles, puis dans nos c½urs. Tu as tendu une main rugueuse tremblante vers moi. Je l'ai saisi. Nous nous sommes approchés. La foule assidue autour de nous semblait nous ignorer. Personne ne s'attardait sur notre scène digne des plus grands films hollywoodiens. Aucun ne remarqua que nous venions de faire connaissance. Les êtres passaient à nos côtés, fantômes vivants de l'ordinaire qui se pressaient, proche d'un évènement exceptionnel, en n'ayant, de ce fait extraordinaire, aucune conscience. Nos lèvres se sont rapprochées, se sont soudés et nous nous sommes ténébreusement embrassés. Oui, car les ombres du crépuscule ont commencé à envahir mon monde lumineux. Avec toi, je compris vite que je m'enfonçais dans la période la plus sombre de ma vie puisque nous nous aimions avec passion et violence. Cependant, je vis bientôt que tu ne recherchais pas l'Amour, que tu ne t'intéressais qu'au coup de foudre ainsi qu'à la première semaine qui suivait. Tu ne te préoccupais que de cette ardeur présente lorsqu'un couple se forme. Tu ne voulais que ressentir l'Amour de Roméo et Juliette de manière perpétuelle. Sentiments et émotions moins intenses, parfois déjà effacés, après ce délai, tu abandonnais la malheureuse élue - qu'importe ce qui lui arrivait ! - et tâchais de découvrir une nouvelle proie. Il en fut ainsi de moi : six jours plus tard, tu étais déjà loin, et deux après, je t'observais réitérant dans l'exactitude des détails, la même scène de rencontre, précédemment jouée avec moi. À l'instant même où ton orifice écumeux, permettant aux aliments nourrissants et autres indélicates choses malsaines de pénétrer, a ingurgité le visqueux liquide gluant, blanchâtre, bulleux et dégoulinant de la cavité buccale sur le menton poisseux de cette nouvelle créature, dans mon esprit s'est imposée l'idée que le coup de foudre n'existe pas. Il est, en fait, un moment, baveux et éc½urant, provoqué délibérément par un homme ou une femme, raconté par d'autres êtres humains avec une enveloppe de nectar et de miel afin de rendre toute personne concernée plus aveugle et stupide encore face à l'horreur !
Je prends soudain conscience que je t'avais presque oublié. De plus, j'ai négligé les bonnes manières ! La température du bain te convient-elle ? N'est-elle pas trop froide ? Pourtant, elle ne doit pas excéder cinq degrés Celsius ! Et les liens ? Pas trop serrés ? Le bâillon ne t'étouffe pas ? Pas de réponse, bonne réponse ! Ou, si tu préfères, qui ne dis rien consent ! J'en ai terminé avec mes cheveux : ils sont secs. Je vais te quitter. Mais avant, je souhaiterais prononcer quelques derniers mots. Sais-tu ce que c'est que le coup de foudre ? Le coup de foudre, c'est prendre un bain, et y faire tomber le sèche-cheveux allumé.
Je débute ce blog en proposant un premier texte faussement nommé "Le coup de foudre". Pourquoi "faussement" ? Tout simplement parce qu'il est un extrait d'une nouvelle intitulée "Femme Fatale" . :) Cette nouvelle, je l'ai rédigé, il y a moins d'un an, cependant, ce texte, ou du moins celui que je vous présent est une réécriture de la première version ! :D J'ai envie de hurler "Alléluia !" tellement cela sort de mes habitudes et prouve que je quitte un peu mon habit de paresseux ! ^^' Donc, d'un certain point de vue, le texte qui va suivre est âgé et d'un autre, est inédit ! ;) Si vous le souhaitez, je pourrais publier la version originale de cet écrit, malgré ma préférence pour la nouvelle version qui est plus limpide et fluide à mes yeux. :)
Bonne lecture à vous et n'hésitez pas à commenter ! :D
Le « coup de foudre ». Expression usité au quotidien par tout type de personnes. Idiotisme qui crée un parallèle entre un évènement naturel provoqué par l'orage et la manifestation humaine d'émotions. Trois mots constituant une explication à un phénomène physique et mental suscité par le sentiment d'Amour. Mais surtout, sujet philosophique qui concerne un certain nombre de personnes, si ce n'est toute la population d'hommes et dont aucun individu n'a de solution finale. Alors, existe-t-il ? Ou bien, n'existe-t-il pas ? S'il existe, comment se manifeste-t-il ? Au travers de quelles sensations ? Au moyen de quelles émotions ? Nous pourrions en discuter des heures. Voire des jours. Et peut-être même des semaines entières. Une vie complète si nous le souhaitons ! Cependant, cette conversation serait stérile. Pourquoi ? Car toi et moi y croyons. L'unique problème présent ici est que tu as, à mes yeux, démystifié cet émoi.
Auparavant, le coup de foudre représentait pour moi la quintessence de l'Amour : deux êtres, deux individus qui, d'un seul regard, prennent conscience qu'ensemble, ils forment un tout que personne ne peut désunir. Une liaison fusionnelle indestructible. De véritables âmes s½urs ! Quoi de plus beau ? Et toi, toi ! Tu me l'as même prouvé ! Tu m'as croisé, un jour, à l'angle d'une rue. Tu m'as fixé, cherchant sans aucun doute à découvrir mon visage, et j'ai senti ton regard appuyé sur moi. J'ai relevé les yeux, brusquement, et alors, nous nous sommes rencontrés. L'Amour est né dans nos pupilles, puis dans nos c½urs. Tu as tendu une main rugueuse tremblante vers moi. Je l'ai saisi. Nous nous sommes approchés. La foule assidue autour de nous semblait nous ignorer. Personne ne s'attardait sur notre scène digne des plus grands films hollywoodiens. Aucun ne remarqua que nous venions de faire connaissance. Les êtres passaient à nos côtés, fantômes vivants de l'ordinaire qui se pressaient, proche d'un évènement exceptionnel, en n'ayant, de ce fait extraordinaire, aucune conscience. Nos lèvres se sont rapprochées, se sont soudés et nous nous sommes ténébreusement embrassés. Oui, car les ombres du crépuscule ont commencé à envahir mon monde lumineux. Avec toi, je compris vite que je m'enfonçais dans la période la plus sombre de ma vie puisque nous nous aimions avec passion et violence. Cependant, je vis bientôt que tu ne recherchais pas l'Amour, que tu ne t'intéressais qu'au coup de foudre ainsi qu'à la première semaine qui suivait. Tu ne te préoccupais que de cette ardeur présente lorsqu'un couple se forme. Tu ne voulais que ressentir l'Amour de Roméo et Juliette de manière perpétuelle. Sentiments et émotions moins intenses, parfois déjà effacés, après ce délai, tu abandonnais la malheureuse élue - qu'importe ce qui lui arrivait ! - et tâchais de découvrir une nouvelle proie. Il en fut ainsi de moi : six jours plus tard, tu étais déjà loin, et deux après, je t'observais réitérant dans l'exactitude des détails, la même scène de rencontre, précédemment jouée avec moi. À l'instant même où ton orifice écumeux, permettant aux aliments nourrissants et autres indélicates choses malsaines de pénétrer, a ingurgité le visqueux liquide gluant, blanchâtre, bulleux et dégoulinant de la cavité buccale sur le menton poisseux de cette nouvelle créature, dans mon esprit s'est imposée l'idée que le coup de foudre n'existe pas. Il est, en fait, un moment, baveux et éc½urant, provoqué délibérément par un homme ou une femme, raconté par d'autres êtres humains avec une enveloppe de nectar et de miel afin de rendre toute personne concernée plus aveugle et stupide encore face à l'horreur !
Je prends soudain conscience que je t'avais presque oublié. De plus, j'ai négligé les bonnes manières ! La température du bain te convient-elle ? N'est-elle pas trop froide ? Pourtant, elle ne doit pas excéder cinq degrés Celsius ! Et les liens ? Pas trop serrés ? Le bâillon ne t'étouffe pas ? Pas de réponse, bonne réponse ! Ou, si tu préfères, qui ne dis rien consent ! J'en ai terminé avec mes cheveux : ils sont secs. Je vais te quitter. Mais avant, je souhaiterais prononcer quelques derniers mots. Sais-tu ce que c'est que le coup de foudre ? Le coup de foudre, c'est prendre un bain, et y faire tomber le sèche-cheveux allumé.
Bonjour !!! :D
Après un fort long silence de quelques semaines (ne vous avais-je pas prévenu de ma fainéantise ? ^^'), je reviens posté un texte non pas nouveau, mais ancien (double preuve de ma paresse XD) ! :) Celui-ci date d'il y a un peu plus d'un an et cependant, il est à mes yeux, toujours une belle description des sensations provoqués lors d'une déclaration d'Amour. Il a été, bien entendu, écrit en pensant à la personne que j'aimais à ce moment-là, puis je l'ai repris et retravaillé, le faisant passer d'un paragraphe où tout était stocké à un ensemble de paragraphe où je développe quelques pensées et où je me répétais souvent (effet d'insistance et de redondance, trace lointaine d'un bégaiement, tout cela dû à un stress de situation). Je m'arrête ici en ce qui concerne la construction du texte et vous le laisse découvrir. :)
Comment te le dire ? C'est quelque chose de commun à tous, et pourtant, unique à chacun. Au début, ce n'est rien. Tu es beau, comme n'importe quel autre que j'aurais pu croiser. Rien de plus. Rien de moins. Et puis, tout doucement, et cependant en quelques secondes, cela se transforme. De beau, tu passes à mignon. Des petits détails deviennent importants. Au début, confondu avec tous les autres, tu sors du commun des mortels. Tu deviens unique. Tu es presque divinisé. Pour expliquer cela, les scientifiques diraient que c'est tes phéromones, ou quelque chose comme ça, qui agit sur mon cerveau et fait que je ressens cela pour Toi. Les socialistes penseraient que c'est le besoin de vaincre la solitude. Tout cela est bête. Ils cassent tout. Moi, je ne sais pas d'où ça vient, mais c'est là...
Comment te le dire ? J'ai si peur. Si peur de me tromper. Si peur de t'effrayer. Si peur que tu t'en ailles sans rien dire. Si peur d'un rejet. Depuis des jours, je tente d'imaginer comment t'aborder, comment te parler, comment ne pas te faire peur. J'aimerais te dire des milliers de choses maintenant que je suis là, que j'ai fait le premier pas. Mais cette peur, cette peur, elle, est toujours là. Explique-moi comment fait-on pour le dire ? Mais ce n'est pas ça qu'il faut que je te demande. J'aimerais te dire des milliers de choses : que je t'observe, que je découvre ta beauté, que tu m'obsède. Je n'arrive pas à t'oublier, à cesser de penser à Toi. Tout ce que je vois te rappelle à ma mémoire. Les choses les plus insensées. Les choses les plus éloignées. Je suis sûrement fou. Et j'ai peur, si peur de te faire peur.
Comment te le dire ? Toutes les fois où j'ai imaginé cette rencontre, et aujourd'hui, ça y est, c'est fait. Ça ne ressemble à rien de ce que j'avais tenté de prédire. Je suis face à Toi. Le seul mot que j'ai dit, c'est "Salut !". Banal, commun. Aucun intérêt. Comme ça, je ressemble à tous les autres. Et puis, j'ai craqué. Et maintenant, je te dis tout ça. Quitte à paraître fou. Quitte à te perdre. J'essaie, je tente. Ce n'est pas simple. C'est très difficile. Surtout à cause de cette peur.
Comment te le dire ? Cette difficulté que j'ai eu à venir te voir. Le stress qui est monté et est toujours aussi haut. Je n'ai jamais fait ça comme ça. J'ai toujours utilisé des moyens détournés. Mais aujourd'hui, j'ai eu le courage. Le courage d'avancer, de déplacer ces jambes, mes jambes, d'habitude collées au sol. Le courage de venir te parler face à face alors qu'avant, je ne te parlais que dans ma tête. Le courage de te regarder dans les yeux, et de te dire tout ça, tandis que d'habitude, j'évite ton regard. Le courage de te prendre, ou plutôt tendre, la main, enfin, et que ce ne soit plus juste dans mes rêves. Tout ça, je ne l'ai jamais fait pour aucun autre. Pour eux, c'était par voies détournées. Cela prouve bien que tu es unique pour moi.
Comment te le dire ? Tu m'obsède. Je me répète, je sais. Mais c'est ça. Tu m'obsède. La nuit comme le jour. Dans les rêves comme dans la vie. Si je ne te vois pas au moins une fois dans la journée, celle-ci est gâchée. Elle devient triste, terne, morne. Je peux regarder ta photo, certes. Cependant, qu'est-ce une photo par rapport à Toi ? Rien. Elle ne me permet pas de voir tes gestes, ces gestes qui te caractérisent. Elle ne me permet pas de t'entendre, d'écouter ta si belle voix. Elle ne me permet pas de te toucher, au détour d'un couloir, comme si de rien n'était, comme si c'était accidentel. Elle ne me permet pas de sentir ton parfum, douce fragrance qui m'hypnotise. Elle ne me permet pas de goûter à ta vie, ta vie qui, dorénavant, gère la mienne : sois heureux et je le suis ; sois malheureux et je le suis.
Comment te le dire ? Ce qui compte, c'est ton bonheur, mais ton bonheur, je te demande pardon pour cette part d'égoïsme qui ressort, ton bonheur doit se faire avec moi.
Comment te le dire ? Le coup de foudre, ça existe, je le sais. Mais malheureusement, celui qui aime ne finit pas forcément avec celui qui est aimé.
Comment te le dire ? Je suis certain que c'est Toi et que ma vie se terminera avec Toi. C'est habituel. Mots communs que tous utilise. Et pourtant, c'est la vérité. Dommage juste, que je ne puisse te le dire avec des mots nouveaux.
Comment te le dire ? Je t'aime. C'est tout. Ce n'est rien. C'est simple. C'est difficile. Je t'aime.
Voilà. Tout est dit. Tout est là. Que dire de plus ? Que dire de moins ? C'est simple. Et c'est compliqué. Tu peux dire oui. Tu peux dire non. Et la peur est présente. Et la peur me serre le ventre. La peur, toujours. Dis oui. Dis non. Dis quelque chose. Rends-Toi heureux. Rends-Toi malheureux. Rends-moi heureux. Rends-moi malheureux. Mais dis quelque chose. En espérant un oui...
Je T'Aime...
Après un fort long silence de quelques semaines (ne vous avais-je pas prévenu de ma fainéantise ? ^^'), je reviens posté un texte non pas nouveau, mais ancien (double preuve de ma paresse XD) ! :) Celui-ci date d'il y a un peu plus d'un an et cependant, il est à mes yeux, toujours une belle description des sensations provoqués lors d'une déclaration d'Amour. Il a été, bien entendu, écrit en pensant à la personne que j'aimais à ce moment-là, puis je l'ai repris et retravaillé, le faisant passer d'un paragraphe où tout était stocké à un ensemble de paragraphe où je développe quelques pensées et où je me répétais souvent (effet d'insistance et de redondance, trace lointaine d'un bégaiement, tout cela dû à un stress de situation). Je m'arrête ici en ce qui concerne la construction du texte et vous le laisse découvrir. :)
Comment te le dire ? C'est quelque chose de commun à tous, et pourtant, unique à chacun. Au début, ce n'est rien. Tu es beau, comme n'importe quel autre que j'aurais pu croiser. Rien de plus. Rien de moins. Et puis, tout doucement, et cependant en quelques secondes, cela se transforme. De beau, tu passes à mignon. Des petits détails deviennent importants. Au début, confondu avec tous les autres, tu sors du commun des mortels. Tu deviens unique. Tu es presque divinisé. Pour expliquer cela, les scientifiques diraient que c'est tes phéromones, ou quelque chose comme ça, qui agit sur mon cerveau et fait que je ressens cela pour Toi. Les socialistes penseraient que c'est le besoin de vaincre la solitude. Tout cela est bête. Ils cassent tout. Moi, je ne sais pas d'où ça vient, mais c'est là...
Comment te le dire ? J'ai si peur. Si peur de me tromper. Si peur de t'effrayer. Si peur que tu t'en ailles sans rien dire. Si peur d'un rejet. Depuis des jours, je tente d'imaginer comment t'aborder, comment te parler, comment ne pas te faire peur. J'aimerais te dire des milliers de choses maintenant que je suis là, que j'ai fait le premier pas. Mais cette peur, cette peur, elle, est toujours là. Explique-moi comment fait-on pour le dire ? Mais ce n'est pas ça qu'il faut que je te demande. J'aimerais te dire des milliers de choses : que je t'observe, que je découvre ta beauté, que tu m'obsède. Je n'arrive pas à t'oublier, à cesser de penser à Toi. Tout ce que je vois te rappelle à ma mémoire. Les choses les plus insensées. Les choses les plus éloignées. Je suis sûrement fou. Et j'ai peur, si peur de te faire peur.
Comment te le dire ? Toutes les fois où j'ai imaginé cette rencontre, et aujourd'hui, ça y est, c'est fait. Ça ne ressemble à rien de ce que j'avais tenté de prédire. Je suis face à Toi. Le seul mot que j'ai dit, c'est "Salut !". Banal, commun. Aucun intérêt. Comme ça, je ressemble à tous les autres. Et puis, j'ai craqué. Et maintenant, je te dis tout ça. Quitte à paraître fou. Quitte à te perdre. J'essaie, je tente. Ce n'est pas simple. C'est très difficile. Surtout à cause de cette peur.
Comment te le dire ? Cette difficulté que j'ai eu à venir te voir. Le stress qui est monté et est toujours aussi haut. Je n'ai jamais fait ça comme ça. J'ai toujours utilisé des moyens détournés. Mais aujourd'hui, j'ai eu le courage. Le courage d'avancer, de déplacer ces jambes, mes jambes, d'habitude collées au sol. Le courage de venir te parler face à face alors qu'avant, je ne te parlais que dans ma tête. Le courage de te regarder dans les yeux, et de te dire tout ça, tandis que d'habitude, j'évite ton regard. Le courage de te prendre, ou plutôt tendre, la main, enfin, et que ce ne soit plus juste dans mes rêves. Tout ça, je ne l'ai jamais fait pour aucun autre. Pour eux, c'était par voies détournées. Cela prouve bien que tu es unique pour moi.
Comment te le dire ? Tu m'obsède. Je me répète, je sais. Mais c'est ça. Tu m'obsède. La nuit comme le jour. Dans les rêves comme dans la vie. Si je ne te vois pas au moins une fois dans la journée, celle-ci est gâchée. Elle devient triste, terne, morne. Je peux regarder ta photo, certes. Cependant, qu'est-ce une photo par rapport à Toi ? Rien. Elle ne me permet pas de voir tes gestes, ces gestes qui te caractérisent. Elle ne me permet pas de t'entendre, d'écouter ta si belle voix. Elle ne me permet pas de te toucher, au détour d'un couloir, comme si de rien n'était, comme si c'était accidentel. Elle ne me permet pas de sentir ton parfum, douce fragrance qui m'hypnotise. Elle ne me permet pas de goûter à ta vie, ta vie qui, dorénavant, gère la mienne : sois heureux et je le suis ; sois malheureux et je le suis.
Comment te le dire ? Ce qui compte, c'est ton bonheur, mais ton bonheur, je te demande pardon pour cette part d'égoïsme qui ressort, ton bonheur doit se faire avec moi.
Comment te le dire ? Le coup de foudre, ça existe, je le sais. Mais malheureusement, celui qui aime ne finit pas forcément avec celui qui est aimé.
Comment te le dire ? Je suis certain que c'est Toi et que ma vie se terminera avec Toi. C'est habituel. Mots communs que tous utilise. Et pourtant, c'est la vérité. Dommage juste, que je ne puisse te le dire avec des mots nouveaux.
Comment te le dire ? Je t'aime. C'est tout. Ce n'est rien. C'est simple. C'est difficile. Je t'aime.
Voilà. Tout est dit. Tout est là. Que dire de plus ? Que dire de moins ? C'est simple. Et c'est compliqué. Tu peux dire oui. Tu peux dire non. Et la peur est présente. Et la peur me serre le ventre. La peur, toujours. Dis oui. Dis non. Dis quelque chose. Rends-Toi heureux. Rends-Toi malheureux. Rends-moi heureux. Rends-moi malheureux. Mais dis quelque chose. En espérant un oui...
Je T'Aime...